Le sacrement de la réconciliation a une grande place dans l’Église catholique. Régulièrement, les prêtres accueillent les fidèles pour entendre leur confession et absoudre leurs péchés. La pratique de ce sacrement n'est pas toujours aisée en raison de la gêne qu'il peut y avoir d'exposer à autrui des actes dont on a honte. Il y a aussi parfois, le manque de temps des fidèles, l'indisponibilité des prêtres, les longues files, etc. Cela peut conduire certains fidèles à épouser la thèse protestante qui rejette la confession chez un prêtre, et à privilégier la demande de pardon faite directement à Dieu, en particulier la prière du « Je confesse à Dieu tout puissant » dite au début de la messe. Or, la confession chez les prêtres a été instituée par le Christ lui-même. Elle est indispensable pour avoir le pardon des péchés graves.

1. Le pardon des péchés par les prêtres de l'Ancien Testament

« Quand vous étendez les mains, je détourne les yeux ; vous avez beau multiplier les prières, moi je n'écoute pas. Vos mains sont pleines de sang : lavez-vous, purifiez-vous ! Ôtez de ma vue vos actions perverses ! Cessez de faire le mal, apprenez à faire le bien ! Recherchez le droit, redressez le violent ! Faites droit à l'orphelin, plaidez pour la veuve ! Allons ! Discutons ! dit Yahvé. Quand vos péchés seraient comme l'écarlate, comme neige, ils blanchiront ; quand ils seraient rouges comme la pourpre, comme laine ils deviendront » (Is 1, 15-18).

Dieu s'est toujours montré irrité face à la désobéissance à ses commandements. Il s'est toujours aussi montré favorable à celui qui se repent et veut revenir sur le droit chemin. Dès l'Ancien Testament, le pardon des péchés pouvait être obtenu par le ministère des prêtres, les lévites :

  • « S'il est responsable en l'un de ces cas, il aura à confesser le péché commis, il amènera à Yahvé à titre de sacrifice de réparation pour le péché commis une femelle de petit bétail (brebis ou chèvre) en sacrifice pour le péché ; et le prêtre fera sur lui le rite d'expiation qui le délivrera de son péché. S'il n'a pas les moyens de se procurer une tête de petit bétail, il amènera à Yahvé en sacrifice de réparation pour le péché qu'il a commis deux tourterelles ou deux pigeons, l'un en sacrifice pour le péché et l'autre en holocauste. Il les amènera au prêtre, qui offrira d'abord celui qui est destiné au sacrifice pour le péché » (Lv 5, 5-8) ;

  • « Si un homme couche maritalement avec une femme, si celle-ci est la servante concubine d'un homme auquel elle n'a pas été rachetée et qui ne lui a pas donné sa liberté, le premier sera passible d'un droit mais ils ne mourront pas, car elle n'était pas libre. Il apportera pour Yahvé un sacrifice de réparation à l'entrée de la Tente du Rendez-vous. Ce sera un bélier de réparation. Avec ce bélier de réparation le prêtre fera sur l'homme le rite d'expiation devant Yahvé pour le péché commis ; et le péché qu'il a commis lui sera pardonné » (Lv 19, 20-22) ;

  • « Parle aux Israélites. Si un homme ou une femme commet l'un de ces péchés par lesquels on frustre Yahvé, cette personne est en faute. Elle confessera le péché commis, et restituera la somme dont elle est redevable, majorée d'un cinquième. Elle la restituera à celui envers qui elle est en faute. Et si ce dernier n'a point de parent auquel on puisse restituer, la restitution due à Yahvé revient au prêtre, sans compter le bélier d'expiation au moyen duquel le prêtre fera sur le coupable le rite d'expiation » (Nb 5, 6-8).

Plusieurs autres passages dans le livre des Nombres et du Lévitiques spécifient les sacrifices à faire par le prêtre dans différentes situations, pour le pardon des péchés.

2. Jésus donne aux prêtres le pouvoir de pardonner les péchés

Jésus, qui « est précisément le grand prêtre qu'il nous fallait, saint, innocent, immaculé, séparé désormais des pécheurs, élevé plus haut que les cieux » (He 7, 26), a voulu associer des hommes à son sacerdoce éternel. Il choisit ainsi douze Apôtres.

« Le Seigneur Jésus, la nuit où il était livré, prit du pain et, après avoir rendu grâce, le rompit et dit: "Ceci est mon corps, qui est pour vous; faites ceci en mémoire de moi." De même, après le repas, il prit la coupe, en disant: "Cette coupe est la nouvelle Alliance en mon sang ; chaque fois que vous en boirez, faites-le en mémoire de moi" » (1 Co 11, 23-25 ; Mt 26, 26-28 ; Mc 14, 22-24 ; Lc 22, 19-20).

L'Eucharistie étant un vrai sacrifice, en l'instituant et en demandant de la célébrer, Jésus institue en même temps les douze Apôtres comme des prêtres, des sacrificateurs, qui vont se substituer à ceux de l'Ancien Testament (Mt 5, 17-18). C'est le « sacerdoce ministériel », institué, qui est différent du « sacerdoce commun des fidèles », qui signifie que tous les chrétiens sont des prêtres, étant « une race élue, un sacerdoce royal, une nation sainte, un peuple acquis, pour proclamer les louanges » du Christ (1 P 2, 9).

Or, le soir de la résurrection, « les portes étant closes, là où se trouvaient les disciples, par peur des Juifs, Jésus vint et se tint au milieu et il leur dit : "Paix à vous !" Ayant dit cela, il leur montra ses mains et son côté. Les disciples furent remplis de joie à la vue du Seigneur. Il leur dit alors, de nouveau : "Paix à vous ! Comme le Père m'a envoyé, moi aussi je vous envoie." Ayant dit cela, il souffla sur eux et leur dit : "Recevez l'Esprit Saint. Ceux à qui vous remettrez les péchés, ils leur seront remis ; ceux à qui vous les retiendrez, ils leur seront retenus" » (Jn 20, 19-23).

Par ces mots, Jésus, à qui « tout pouvoir a été donné au ciel et sur la terre » (Mt 28, 18), envoie les Apôtres, de la même manière que le Père l'a envoyé, et leur transmet le pouvoir de pardonner les péchés : « Ceux à qui vous remettrez les péchés, ils leur seront remis ; ceux à qui vous les retiendrez, ils leur seront retenus » (Jn 20, 23).

Jésus a donné à Pierre seul les clés du Royaume des cieux en lui ajoutant : « Quoi que tu lies sur la terre, ce sera tenu dans les cieux pour lié, et quoi que tu délies sur la terre, ce sera tenu dans les cieux pour délié » (Mt 16, 19). Plus tard, il étend ce pouvoir de lier et de délier aux autres Apôtres (Mt 18, 18). Lier et délier renvoient, entre autres, à la faculté d'absoudre les péchés, d'excommunier ou de réconcilier avec l’Église, etc.

Tout ce que Jésus a institué devrait durer jusqu'à la fin des temps. C'est ainsi que les Apôtres eurent le soin de choisir des collaborateurs et des successeurs à qui ils transmettaient leur pouvoir par l'imposition des mains, le sacrement de l'ordre. Ainsi, les prêtres et les évêques catholiques ont le pouvoir de pardonner les péchés du fait de la succession apostolique.

3. Le ministère de la réconciliation

Certaines dénominations protestantes suggèrent qu'en Jn 20, 19-23, Jésus ordonne simplement que le pardon des péchés soit proclamé comme il l'a dit à d'autres endroits à ses disciples :

  • « Ainsi est-il écrit que le Christ souffrirait et ressusciterait d'entre les morts le troisième jour, et qu'en son Nom le repentir en vue de la rémission des péchés serait proclamé à toutes les nations, à commencer par Jérusalem. De cela vous êtes témoins » (Lc 24, 46-48) ;

  • « Allez donc, de toutes les nations faites des disciples, les baptisant au nom du Père et du Fils et du Saint Esprit, et leur apprenant à observer tout ce que je vous ai prescrit. Et voici que je suis avec vous pour toujours jusqu'à la fin du monde" » (Mt 28, 19-20).

Toutefois, les mots sont clairs : « Ceux à qui vous remettrez les péchés, ils leur seront remis ; ceux à qui vous les retiendrez, ils leur seront retenus » (Jn 20, 23). Il ne s'agit pas du tout ici d'une proclamation, bien que les fidèles doivent être exhortés au repentir (2 Co 5, 17-21), car les Apôtres doivent exercer un jugement et décider ou non de pardonner les péchés. Dans son ministère public, Jésus a annoncé d'une part la nécessité de se repentir (Mc 1, 15), et d'autre part, il a distinctement pardonné les péchés de certaines personnes (Lc 5, 23).

La confession des péchés a été pratiquée dans les Actes des Apôtres de manière publique : « Beaucoup de ceux qui étaient devenus croyants venaient confesser et dévoiler leurs pratiques. Bon nombre de ceux qui s'étaient adonnés à la magie apportaient leurs livres et les brûlaient en présence de tous. On en estima la valeur : cela faisait 50.000 pièces d'argent » (Ac 19, 18-19). Cette confession publique était d'ailleurs déjà pratiquée par Jean le Baptiste : « Et s'en allaient vers lui tout le pays de Judée et tous les habitants de Jérusalem, et ils se faisaient baptiser par lui dans les eaux du Jourdain, en confessant leurs péchés » (Mc 1, 5 ; Mt 3, 5-6).

C'est la raison pour laquelle saint Paul, en union avec Timothée (2 Co 1, 1) reconnaissent qu'ils assument le ministère de la réconciliation en lieu et place de Jésus : « Si donc quelqu'un est dans le Christ, c'est une création nouvelle : l'être ancien a disparu, un être nouveau est là. Et le tout vient de Dieu, qui nous a réconciliés avec Lui par le Christ et nous a confié le ministère de la réconciliation. Car c'était Dieu qui, dans le Christ, se réconciliait le monde, ne tenant plus compte des fautes des hommes, et mettant en nous la parole de la réconciliation. Nous sommes donc en ambassade pour le Christ ; c'est comme si Dieu exhortait par nous. Nous vous en supplions au nom du Christ : laissez-vous réconcilier avec Dieu. Celui qui n'avait pas connu le péché, Il l'a fait péché pour nous, afin qu'en lui nous devenions justice de Dieu » (2 Co 5, 17-21).

Après que Jésus ait pardonné les péchés d'un paralytique, on remarquera que les foules rendaient gloire à Dieu d'avoir donné le pouvoir de pardonner les péchés « aux hommes » (pluriel) et non à un seul homme, Jésus : « Voici qu'on lui apportait un paralytique étendu sur un lit. Jésus, voyant leur foi, dit au paralytique : "Aie confiance, mon enfant, tes péchés sont remis." Et voici que quelques scribes se dirent par-devers eux : "Celui-là blasphème." Et Jésus, connaissant leurs sentiments, dit : "Pourquoi ces mauvais sentiments dans vos cœurs ? Quel est donc le plus facile, de dire : Tes péchés sont remis, ou de dire : Lève-toi et marche ? Eh bien ! Pour que vous sachiez que le Fils de l'homme a le pouvoir sur la terre de remettre les péchés, lève-toi, dit-il alors au paralytique, prends ton lit et va-t-en chez toi." Et se levant, il s'en alla chez lui. A cette vue, les foules furent saisies de crainte et glorifièrent Dieu d'avoir donné un tel pouvoir aux hommes » (Mt 9, 2-8).

« Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne se perde pas, mais ait la vie éternelle » (Jn 3, 16). « Si nous confessons nos péchés, lui, fidèle et juste, pardonnera nos péchés et nous purifiera de toute iniquité » (1 Jn 1, 9). Ainsi, le pardon des péchés n'est pas automatique : « Si nous confessons nos péchés ... » Cela requiert une démarche personnelle et consciente du croyant.

4. « Confessez donc vos péchés les uns aux autres »

L'Apôtre Jacques parle du sacrement des malades en ces termes : « Quelqu'un parmi vous souffre-t-il ? Qu'il prie. Quelqu'un est-il joyeux ? Qu'il entonne un cantique. Quelqu'un parmi vous est-il malade ? Qu'il appelle les presbytres de l’Église et qu'ils prient sur lui après l'avoir oint d'huile au nom du Seigneur. La prière de la foi sauvera le patient et le Seigneur le relèvera. S'il a commis des péchés, ils lui seront remis. Confessez donc vos péchés les uns aux autres et priez les uns pour les autres, afin que vous soyez guéris » (Jc 5, 13-16).

Cette dernière phrase est souvent évoquée à tort par des dénominations protestantes pour prétendre que la pratique de la confession chez un prêtre ne serait pas biblique. Cette phrase signifierait que tous les croyants peuvent pardonner les péchés et que les prêtres catholiques devraient aussi se confesser chez d'autres chrétiens. Déjà, ce n'est pas certain qu'il existe des dénominations protestantes où les fidèles confessent leurs péchés les uns chez les autres. Dans les rares dénominations qui ont restauré la confession, les fidèles le font chez le pasteur. Ainsi, la pratique dans le protestantisme même, dément l'instrumentalisation de ce verset contre la doctrine catholique. Les prêtres catholiques se confessent chez d'autres prêtres catholiques.

On voit une construction pareille à Jc 5, 16 dans la lettre aux Éphésiens. Saint Paul écrit : « Soyez soumis les uns aux autres dans la crainte du Christ. Que les femmes le soient à leurs maris comme au Seigneur … Maris, aimez vos femmes comme le Christ a aimé l’Église : il s'est livré pour elle » (Ep 5,21-22.25). Si les instructions précédentes s'adressaient à tout le monde, on voit que le « Soyez soumis les uns aux autres » concerne uniquement le mari et la femme, dans le mariage.

De même, le contexte du « Confessez donc vos péchés les uns aux autres » (Jc 5, 16) se réfère à la confession auprès des anciens (presbytres) qui ont été appelés auprès du malade. Voici la séquence :

  • Si quelqu'un est souffrant, qu'il prie ;

  • s'il est malade, qu'il appelle les presbytres ;

  • les presbytres lui feront une onction d'huile et prieront pour le malade ;

  • « s'il a commis des péchés, ils lui seront remis » : si le malade a commis des péchés, ses péchés lui seront pardonnés à l'occasion, grâce à la présence des presbytres.

Par conséquent, « confessez donc vos péchés les uns aux autres » signifie que le pardon des péchés évoqué précédemment se fait par la confession du malade auprès du presbytre, et non que tous les chrétiens avaient la faculté d'entendre les confessions d'autres chrétiens.

Ce passage de la lettre de saint Jacques prouve que le pouvoir d'administrer le sacrement des malades et de pardonner les péchés est réservé aux presbytres, collaborateurs et successeurs des Apôtres.

5. Mais à qui vous pardonnez, je pardonne aussi !

Saint Paul écrit aux Corinthiens : « Mais à qui vous pardonnez, je pardonne aussi ; car, si j'ai pardonné – pour autant que j'ai eu à pardonner – c'est à cause de vous, en présence du Christ » (2 Co 2, 10).

Certains voudraient faire croire qu'ici, saint Paul pardonne de la même manière que les autres fidèles laïcs. Cependant, lorsqu'on a péché contre le prochain, la justice et le regret doivent nous pousser à lui présenter des excuses, et Jésus nous demande d'accepter ces excuses : « Si ton frère vient à pécher, réprimande-le et, s'il se repent, remets-lui. Et si sept fois le jour il pèche contre toi et que sept fois il revienne à toi, en disant : Je me repens, tu lui remettras" » (Lc 17, 3-4).

Néanmoins, le péché n'est pas une affaire individuelle car elle blesse le prochain et l’Église tout entière (2 Co 2, 5). Et c'est par le ministère de l’Église que saint Paul donne ici le pardon « en présence du Christ » (traduction littérale : « devant la face (visage) du Christ », ou « en la personne du Christ »). Il précise plus tard dans la lettre qu'il est enrichi du « ministère de la réconciliation », agissant comme « ambassadeur du Christ » (2 Co 5, 17-21) et non à la manière des autres fidèles.

6. Demander pardon à Dieu directement ?

Saint Jean nous enseigne la notion de péché mortel (qui conduit à la mort, c'est-à-dire, à l'enfer, Ap 21, 8) et de péché véniel : « Quelqu'un voit-il son frère commettre un péché ne conduisant pas à la mort, qu'il prie et Dieu donnera la vie à ce frère. Il ne s'agit pas de ceux qui commettent le péché conduisant à la mort ; car il y a un péché qui conduit à la mort, pour ce péché-là, je ne dis pas qu'il faut prier. Toute iniquité est péché mais il y a tel péché qui ne conduit pas à la mort » (1 Jn 5, 16-17).

Ce passage souligne clairement qu'il y a des péchés pour lesquels la prière n'est pas indiquée. Demander pardon directement à Dieu est une prière qui ne peut donc pas effacer les péchés graves. C'est le cas de la prière du « Je confesse à Dieu tout puissant » dite au début de la messe, qui nous fait simplement reconnaître devant Dieu que nous sommes pécheurs, et qu'à cause de notre imperfection nous colportons toujours des péchés véniels (Rm 5, 12). Il en est de même pour la prière du Notre Père : « Pardonne-nous nos offenses comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés » (Mt 6, 12). Ces prières et bien d'autres n'effacent pas les péchés mortels et il faut le souligner avec insistance.

Comme issue, Jésus a donné aux Apôtres et à leurs successeurs le pouvoir de pardonner tous les péchés à travers le sacrement de la réconciliation (Jn 20, 22-23).

7. Eucharistie et sacrement de la réconciliation

Le sacrement de la réconciliation et l'Eucharistie sont liés. Le premier sert de préparation à la réception du second, le plus grand des sacrements.

Depuis l'Ancien Testament, le contact avec le sacré requiert une sanctification, une consécration ou une purification particulière (Ex 19.10-15 ; Is 6, 5), faute de quoi il y a profanation. Les prophètes ont relevé que le péché est le grand profanateur qui provoque la colère de Dieu (Jr 16, 18 ; Ps 106(105), 35-40).

L’Écriture mentionne clairement que l'on ne peut pas recevoir la sainte communion avec des péchés graves : « Ainsi donc, quiconque mange le pain ou boit la coupe du Seigneur indignement aura à répondre du corps et du sang du Seigneur. Que chacun donc s'éprouve soi-même, et qu'ainsi il mange de ce pain et boive de cette coupe ; car celui qui mange et boit, mange et boit sa propre condamnation, s'il ne discerne le Corps. Voilà pourquoi il y a parmi vous beaucoup de malades et d'infirmes, et que bon nombre sont morts » (1 Co 11, 27-30).

Les catholiques sont tenus d'aller à la messe le dimanche selon le précepte : « Tu honoreras le jour du Seigneur » (Ex 20, 8-11). Mais, s'ils ont conscience d'avoir commis un péché grave non encore confessé, ils s'abstiendront de recevoir la sainte communion.


Abbé Kizito NIKIEMA, prêtre de l'archidiocèse de Ouagadougou (Burkina Faso)


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