Les offenses à la chasteté

« L’inceste désigne des relations intimes entre parents ou alliés, à un degré qui interdit entre eux le mariage. […] L’inceste corrompt les relations familiales et marque une régression vers l’animalité. On peut rattacher à l’inceste les abus sexuels perpétrés par des adultes sur des enfants ou adolescents confiés à leur garde. La faute se double alors d’une atteinte scandaleuse portée à l’intégrité physique et morale des jeunes, qui en resteront marqués leur vie durant, et d’une violation de la responsabilité éducative » [1]. Il n'est pas permis d'avorter une grossesse issue d'une relation incestueuse, même s'il faut, dans le cas de la consanguinité, s'attendre à ce que l'enfant ait des tares héréditaires.

Plusieurs passages de l'Ancien Testament fustigent l'inceste due à la parenté proche. Voici ce que contient le chapitre 18 du Lévitique :

Les enfants adoptifs sont considérés comme fils ou filles du ou des parents adoptifs (cf. canon 110). 

 

Note : 

[1] Catéchisme de l’Église Catholique, n°2388-2389.